Qui sommes-nous ?
La Brasserie de Dinan est le résultat de la rencontre de deux épicuriens déjantés ayant décidé de créer du bonheur en bouteille sous forme de bières.
Leurs bières sont le résultat de beaucoup d’amour et d’une fabrication artisanale de qualité. Résolument ancré dans une démarche éco-responsable, ils mettent un point d’honneur à avoir un impact environnemental le plus faible possible en cherchant et en expérimentant afin de mieux valoriser leurs déchets. Une base sérieuse proposant des bières de qualité, élaborée et présentée avec une grosse dose d’humour…
Les Brasseurs se présentent...
Bienvenue dans l’univers déjanté de la brasserie de Dinan et de ses bières artisanales où règne le bonheur, la qualité, l’humour de merde et surtout… L’amour !
Bon OK vous avez compris !
Mais qu'est ce que la Brasserie de Dinan ?
(A lire avec une voix grave et sensuelle)
« Dans la contrée de Dinan, deux épicuriens déjantés, décidèrent de s’associer afin de créer du bonheur en bouteille sous forme de bières. Ainsi naquit l’opération ninjaaaaaa ! » … « Euh non ! Ça c’était le plan de conquête du monde. Bon on coupe et on la refait ! »… « Ainsi naquit la Brasserie de Dinan protégée par les remparts dominant la Rance. »
Ok ! D’accord… Si vous voulez…
Mais qui sont-ils ?
(A lire avec une voix grave de la nuit noire et profonde qui tease digne d’un blockbuster américain)
- Ils sont l’agent K et l’agent J de la brasserie artisanale !
- Ils sont les Minus et Cortex brasseurs éco-responsables !
- Ils sont les Han Solo et Chewbacca ayant rejoint la résistance du craft et le chevalier de la bière. » Force et houblon ! «
- Ils sont les Satanas et Diabolo de vos papilles !
- Ils sont les Starsky et Hutch brasseurs au grand cœur n’ayant peur de rien !
- Ils sont les Marty et Doc de retour du futur du craft !
- Ils sont les Sherlock Holmes et Watson des accords bières et mets !
- Ils sont les Walter White et Jesse Pinkman de la 2ème loi de la thermodynamique appliquée au champ brassicole !
- Ils sont les Batman et Robin des biérologues !
Ok ! Ok… Passons ! Disons que ça va aller… un dernier mot pour conclure ?
(L’interlocuteur se masse légèrement les tempes comme pour se préserver d’un mal de crane déclenché par autant de propos potaches en un laps de temps si court.)
« Euuh… Bisous ! »